Le schéma de déphasage à 180°
Le schéma de déphasage à 180°
L'observation de ce phénomène sur un oscilloscope à 2 voies fournit une vision concrète du déphasage : comme pour l'équilibre de 2 forces, une positive et une négative qui se trouvent parfaitement face à face, les ondes "se font face en opposition" et leur résultante oscillatoire apparaît nulle.
Tests du dispositif GINKO Control
Testé scientifiquement grâce à des tests réalisés en laboratoires le patch GINKO Control assure une fonction fiable.
De très nombreux tests ont été réalisés, d'autres sont toujours en cours pour évaluer l'efficacité du patch GINKO Control. par le Professeur ZANCA - Maitrise d’Astrophysique, Ingénieur INSA Lyon, Docteur en Biochimie, Docteur en Sciences (Physique) et Docteur en Médecine, Biophysicien, Spécialiste de Médecine Nucléaire et d’IRM au CHU de Montpellier, chercheur au laboratoire de Physique de l’Université de Montpellier (L2C, UMR5221 UM-CNRS) par le Dr GAUJAC, Diplômé de la Faculté de médecine et de pharmacie de Toulouse, Attaché des Hôpitaux.
Ce travail collaboratif porte aussi bien sur la vérification expérimentale des propriétés physiques des patchs (mise en évidence sur analyseur de réseaux du déphasage et de l’absorption RF en sortie de patch) que sur leur efficacité clinique potentielle (tests de performances musculaires au cours du maintien de l’équilibre dans l’espace (testing "énergétique" à court terme des muscles anti-gravifiques, testing à plus long terme sur plateformes posturales).
Ces études de laboratoire permettent d’ores et déjà d’affirmer certaines des propriétés de ces patches :
Le patch GINKO Control affecte les radiofréquences sur une large bande passante - Le Patch GINKO téléphone, par exemple, est actif entre 500MHZ et 7GHZ, couvrant ainsi la 4G pour 832 MHZ mais aussi les GPS et TV satellites.
Le patch GINKO Control est bien en mesure de déphaser de 180° les ondes électromagnétiques entrantes.
Le port d’un patch GINKO Control soulage les tensions des chaînes musculaires antigravitaires en les diminuant. L’individu retrouve alors un niveau énergétique lui permettant d’améliorer ses performances physiques et d’éprouver une sensation de mieux-être.
Les tests cliniques montrent, sans ambiguïté,une baisse significative de l’énergie lors d’un contact rapproché avec des appareils émettant des ondes électromagnétiques : notre organisme apparaît d’autant plus affecté par l’ampleur de l’environnement électromagnétique qu’il est proche des sources émettrices.
Dans tous les cas de perte énergétique à proximité immédiate d’une source de rayonnement électromagnétique, le port d’un Patch GINKO Control permet la restauration du niveau initial, tel qu’il est mesuré loin de ladite source.
Par ailleurs, afin de déterminer la réactivité de sujets au port du patch GINKO Control Téléphone et l'effet régulateur du patch GINKO Control, de nombreux tests ont été réalisés en électrophysiologie (acupuncture, CHU de Nîmes) en février 2014, en double aveugle avec placébos et sur une centaine de volontaires, par le docteur D. PRAT PRADAL, Maître de Conférences des Universités, UFR MONTPELLIER-NIMES, Praticien Hospitalier Chef de Service, Service d’exploration fonctionnelle du Système nerveux et Acupuncture, CHU CAREMEAU à NIMES , avec du matériel de mesure homologué BEST TM SYSTEM, MSA-21 et la participation de M. Matthias JANSEN, Ingénieur.
Cette Etude a mis en évidence le fait que le patch GINKO Control est un système passif qui, pour les utilisateurs de téléphone portable, "neutralise" de façon efficace et continue l’effet délétère qu’ont les radiofréquences sur les potentiels électro physiques en les restaurant. Toutes ces conclusions se complètent et confirment l’efficacité du patch GINKO Control. L'ensemble de ces tests sont tous reproductibles.
Par ailleurs les patchs GINKO Control sont les seuls à ne présenter aucune contre-indication biologique, à couvrir aussi bien les hautes que les basses fréquences et à offrir des performances contrôlées.
Tous ces points primordiaux positionnent GINKO Control au rang N°1 sur le marché mondial.
Les résultats des tests plus détaillés sont disponibles sur simple demande, quant aux recherches menées par le Professeur Zanca, elles vont faire l'objet de publications dans des revues scientifiques.
Pour aller plus loin
Informations introductives
Si l’existence d'un effet sanitaire nocif des radiofréquences reste encore difficile à affirmer de façon certaine, la question reste préoccupante au regard de certaines "manifestations cliniques" de plus en plus répandues de nos jours et particulièrement aigues chez certains sujets dits "électro-sensibles". Qu’il s’agisse de troubles du sommeil, de céphalées, de douleurs articulaires erratiques, de pertes de mémoire, de stress, …, le constat de ces "anomalies sanitaires" conduit à envisager la possibilité d'une cause organique en lien avec l'environnement électromagnétique radiofréquence (EEM-RF) et les propriétés électriques du corps humain. Quel rôle objectif jouent alors les rayonnements électromagnétiques radiofréquences dans l’initiation de ces anomalies, peut-on en comprendre les mécanismes et dans quelle mesure serait-il possible d'en diminuer les effets ? Pour tenter de répondre à ces préoccupations, la Société GINKO France propose l'utilisation de patchs passifs dont l'efficacité est testée et retenue sur la base d'une évaluation objective de certains paramètres cliniques à "turnover rapide". Par exemple, l'analyse du degré de tension des muscles anti-gravifiques impliqués dans l’équilibre posturologique est une approche classique en sémiologie médicale analytique. Cette approche peut être "détournée" pour appréhender et suivre les mécanismes d'adaptation immédiate à des évènements transitoires pouvant influer sur les performances psycho-physiologiques d’un sujet, la qualité de ces adaptations pouvant retentir, à plus ou moins long terme, sur son équilibre (sanitaire) global. Les muscles anti-gravifiques sont en effet soumis à de fréquentes adaptations imposées par la nécessité de maintenir notre équilibre en position debout. C’est le cerveau qui commande les actions adéquates nécessaires à la correction des anomalies, et ce à partir des informations reçues de nombreux capteurs périphériques. La recherche d'une asymétrie du tonus de certains muscles posturaux permet donc de localiser les tensions et les limites de mobilisation des membres et du tronc et de vérifier si cette asymétrie perdure lorsqu’on modifie une entrée des systèmes de contrôle qui paraît déficiente. Plus difficile sera le maintien de l'équilibre, quelles qu’en soient les causes, plus l'énergie réclamée par l’organisme sera grande. L’appréciation clinique du degré de tension des muscles antigravifiques permet donc bien de sonder le niveau des performances énergétiques propres à chacun et de suivre, pratiquement en temps réel, la qualité de son adaptation à l'environnement.
1ère question : l'environnement électromagnétique (EEM-RF) va-t-il en augmentant ?
Oui, et de façon artificielle en raison de la multiplication des objets connectés et donc de l'utilisation des radiofréquences (RF).
2ème question : existe-t-il un effet de l'EEM-RF sur notre organisme et si oui, est-il nociceptif (défavorable) ou facilitateur (favorable) vis-à-vis de notre "bien être" ?
Rép. n°1 : Il est possible d’affirmer, sur la base du testing des tensions musculaires anti-gravifiques, que l'augmentation de l'EEM-RF par le port (sur soi) d'un "smartphone" ou de tout autre appareil connecté aggrave, de façon nettement significative, les tensions des chaînes musculaires antigravifiques, traduisant l'effet nociceptif de l'EEM-RF sur (certaines de) nos performances ; Rép. n°2 : L'effet nociceptif du téléphone disparaît si la distance le séparant du sujet est "suffisante" ; cette distance dépend du sujet et se situe, en moyenne, au-delà de 60 cm, mais elle est très nettement supérieure chez des sujets qui se perçoivent comme "électro-sensibles".
3ème question : le niveau actuel de l'EEM-RF suffit-il déjà à influer sur ces chaînes musculaires antigravifiques, même si nous restons éloignés de tout appareil connecté ?
Le constat, en cage de Faraday où est annulé l'EEM-RF, de la très nette diminution des tensions des chaînes musculaires antigravifiques, traduisant l'augmentation significative de nos performances musculaires, prouve que le niveau actuel de l'EEM-RF a bien déjà un impact nociceptif significatif.
4ème question : quel est, dans ce contexte, le rôle du patch GINKO Control® ?
Lorsque, collé au dos d'un téléphone porté sur soi, un patch de 29 mm restitue complètement le niveau des performances musculaires atteintes en cage de Faraday, ce que ne fait pas un placebo collé à la place du patch. Il apparaît ainsi, toujours sur la base de performances musculaires antigravifiques, que le patch GINKO Control® élimine en quasi totalité l'impact nociceptif de l'EEM-RF. La préservation de ces performances pourrait traduire une propriété plus générale des patches GINKO Control®, la protection d'un organisme vivant face à certains effets (nociceptifs) de l’EEM-RF et ce quel qu'en soit le niveau.
5ème question : comment ça marche ?
Les effets facilitateurs du patch GINKO Control® sur l'organisme pourraient, en partie au moins, être liés à un déphasage passif de 180° invoqué à l'origine, mais d’autres mécanismes sont aussi en cours d'investigation.
Illustrations : mesures effectuées en double aveugle (patch GINKO Control® ou placébo) sur 30 volontaires informés et ayant signé un consentement éclairé